Sept 2011 - La première émotion quand vous arrivez à Cuzco, dès que vous débarquez de l'avion, est l'inquiétude. Est-ce qu'on va être étourdi, avoir un mal de tête ou encore carrément être malade? C'est que beaucoup de choses sont écrites sur le mal de l'altitude qui peux frapper quand on se retrouve soudainement à plus de 3,400 mètres d'altitude. À part un léger sentiment d'être étourdi, et bien, il ne se passe rien ... du moins, pour l'instant.
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Vue panoramique de Cuzco
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La route pour notre auberge,
La casa de Campo, est intéressante, Cuzco étant une ville très peuplée de plus de 350,000 habitants. Ça nous change de Puerto Maldonado! Notre auberge est située dans les hauteurs de Cuzco et les petits chemins qui y mènent sont à peine plus large que notre petite voiture. Nous sommes très content de notre choix d'auberge pour notre court séjour car nous avons une vue imprenable de Cuzco.
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En route vers notre auberge |
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Vue de notre auberge |
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Encore une vue de notre auberge |
On s'installe et on descend faire une petite visite dans la plaza au centre de la ville. Le souffle se fait court, mais Michel en profite pour faire des stepettes et nous montrer qu'il est en pleine forme. Il le regrettera plus tard dans la soirée alors qu'il aura un petit problème intestinal! Le centre ville de Cuzco est splendide avec de superbes églises et des décors enchanteurs. On se trouve un petit restaurant typique pour se rassasier et aussi savourer une cerveza locale. On en profite pour visiter Cuzco au crépuscule. C'est tout à fait magnifique! C'est à la remontée vers notre auberge que l'on se rend compte comment le souffle n'y est pas. On monte quelques marches et on doit se reposer pour reprendre notre souffle. La nuit va être salutaire... enfin c'est ce qu'on pense.
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La cerveza! |
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La cathédrale de Cuzco |
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Rue typique de Cuzco |
Le lendemain est une journée de repos, question de se faire au manque d'oxigène. Une journée relaxe à visiter Cuzco. On en profite aussi pour aller porter son linge dans un buanderie, question de sécher les souliers toujours mouillés suite à l'averse torrentielle de Puerto Maldonado et de rafraîchir le linge humidifié par l'air de la forêt amazonienne.
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Certains murs sont spectaculaires! |
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La cathédrale en plein jour |
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De la belle architecture |
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Un attrape touriste... sympatique |
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Rafraichissement garanti! |
La fin de journée arrive vite et c'est avec enthousiasme que l'on se prépare aux visites du lendemain. Malheureusement, la nuit sera encore difficile dû au manque d'oxygène.
Au début d'après-midi, on se met en route pour les ruines de Pisac. Nous décidons d'y aller en bus local, question de vivre l'expérience. On prend un taxi jusqu'au terminal de bus, un stationnement au milieu de nul part. On s'entasse dans la petite camionnette et on se met en route. Une balade de 50 minutes qui nous amène dans le tout petit village de Pisac, au coeur des montagnes. Sur place, on se trouve un taxi qui nous amène jusqu'aux ruines et qui va nous attendre pour nous ramener au village une fois la visite terminée.
À l'entrée des ruines, pas moyen d'éviter de prendre un guide. Il semble que c'est plutôt risqué de s'aventurer par soit même. Bien content d'avoir accepté car en effet, la visite des ruines de Pisac n'est pas de tout repos. Il ne faut pas souffrir de vertige ou encore, si c'est le cas comme pour moi, être prêt à longer les murs en quelques occasions! Mais la visite en vaut vraiment la chandelle. Les paysages sont superbes et les ruines très bien conservées. Un site mémorable qui offre l'avantage de ne pas être pris d'assault par une horde de touristes.
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Sur la route des ruines de Pisac |
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La traditionnelle porte |
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On s'accroche! |
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Des paysages extraordinaires! |
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Un repos bien mérité |
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Pisac: Des ruines superbement conservées |
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Le sentier du retour |
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Tout en hauteur! |
Lors de notre retour vers notre taxi, on trouve curieux de devoir marcher sur la route. C'est bien d'être en compagnie des moutons, mais pourquoi ne vient-il pas nous chercher? C'est un peu plus loin que l'on s'aperçoit que la route a été ensevelie par un éboulement!
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Moutons sauvages |
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La route? |
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Toujours des vues spectaculaires |
Pour le retour vers Cuzco, nous décidons de faire la ballade en taxi. Celà nous permet de nous arrêter entres autres dans une réserve d'animaux sans but lucratif où l'on va faire la rencontre d'un chien Inca, d'un puma et aussi assister aux vols des vautours. Tout ça en compagnie d'un bénévole venant de ... New York.
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Minou! |
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Un vautour en plein vol |
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Un chien Inca... unique! |
Un peu plus loin, nous arrêterons, en fin de journée, aux ruines de Tambomachay. Des ruines qui ne sont pas très spectaculaires mais où nous avons amusé les touristes japonais en nous approchons un peu trop près des lamas. Je dois tout de fois admettre que je n'ai pas osé m'approcher à une distance de crachat!
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Le lama gentil |
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Le lama... fâché! |
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Ruines de Tambomachay |
Une journée fort chargée mais qui nous a donné un avant goût du magnifique héritage architectural laissé par la Incas. Et dire qu'il nous reste encore plusieurs jours et plusieurs ruines à visiter!
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